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Musique

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La pièce est ponctuée d'interventions chantées en solo ou en duo mais aussi au piano solo.

En raison de l’attrait exacerbé de Rosa Bonheur pour la musique, l’auteure a souhaité que le propos soit ainsi transporté.

Chaque passage musical vient illustrer l’atmosphère créée précédemment par les dialogues, formant un tout indissociable.

C’est ainsi que s’entremêlent des airs du XIXème siècle et des chansons du XXème et XXIème siècle.

Par la magie du doigté de Pierre-Alain Volondat, elle nous entraîne dans l'univers artistique de Rosa Bonheur.

La cantatrice Caroline Miolan Carvalho,  personnage central, était une de ses amies les plus chères.

La composition originale : "le tableau rêvé" nous transporte au coeur même de la toile de l'artiste.

Morceaux interprétés

Chant lyrique et chanson française pour nous conter Rosa Bonheur

Tandis que la mélodie « Le ramier » de Félicien David, compositeur et ami de père de Rosa évoque le doux souvenir maternel, la chanson « Mon enfance » de Barbara, vient sublimer ce moment pour transmettre l’immense émotion de Rosa Bonheur, lorsqu’elle évoque le souvenir de sa mère.

Puis la mélodie « Paysage » de Reynaldo Hahn vient décrire en musique une toile de l’artiste, avant que ne résonne le « carnaval des animaux » de Camille Saint Saëns pour installer le sujet de prédilection de Rosa Bonheur : la peinture animalière.

L’Arabesque N°1-Op 61 de Cécile Chaminade virevolte dans l’espace pour relier les siècles qui nous séparent de la femme peintre. Cette compositrice fut elle-même au XIXème siècle, la première femme artiste musicienne à recevoir la légion d’honneur.

Enfin, la chanson « Le tableau rêvé » créée pour la pièce, suivie du « Duo des fleurs » de l’opéra Lakmé de Léo Delibes et du « Rêve d’amour » de Franz Liszt, sont autant de confidences musicales sur les sentiments les plus intimes de Rosa Bonheur.

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